jeudi 10 mai 2007

Mother Earth - WITHIN TEMPTATION

Tous ensemble, unis sur la terre mère !

mardi 8 mai 2007

RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE




Réchauffement climatique: le Dalaï Lama critique les Etats-Unis et la Chine

BERLIN (AFP) :

Le Dalaï Lama, chef spirituel du bouddhisme tibétain, a critiqué la Chine et les Etats-Unis qui placent, selon lui, "leurs intérêts nationaux devant la protection de l'environnement", dans un entretien à la presse allemande paru mardi.

"Les Etats-Unis et la Chine placent leurs intérêts nationaux souvent devant l'environnement. C'est une vision étriquée parce qu'ils font partie du monde et qu'ils pâtiront aussi des conséquences du réchauffement climatique", a-t-il déclaré au quotidien populaire Bild.
"Détruire l'environnement équivaut à un suicide", a-t-il ajouté, estimant qu'"il n'est pas encore trop tard bien qu'ils soit déjà très tard" pour agir.
Soulignant l'importance des "chercheurs", il ajoute "nous devons porter beaucoup plus attention à leurs prévisions et leurs estimations". Et il appelle les grandes entreprises à "davantage réfléchir aux conséquences de leurs activités sur l'environnement".
Le Dalaï Lama, 71 ans, doit recevoir samedi un prix à Leipzig (est).
Une conférence de l'Onu sur le climat est réunie depuis lundi à Bonn (ouest de l'Allemagne) en présence de quelque 200 représentants gouvernementaux et experts du monde entier pour plancher sur les détails de la lutte contre le réchauffement climatique et la stratégie d'ensemble à adopter.

Comme à son habitude l'homme semble prisonnier de ses sytèmes politiques et ne résout les problèmes que de façon provisoire. Il est temps d'agir avec le coeur et de respecter notre environnement par amour et non par obligation.

lundi 7 mai 2007

L'UNION DES HOMMES


Pour les mal-voyants, écouter ce texte :






L'homme se démarque du règne animal par la conscience. Mais n'est-elle pas justement le sentiment qui le pousse à se déchirer ?








Le libre-arbitre, la responsabilisation dans les actes, la culpabilité sont générés par la conscience. L'homme transgresse la nature pour se donner l'impression d'exister, pour se démarquer de la matière. Cette vision dénaturée de son environnement semble justifier son comportement irresponsable à l'égard de l'Univers et donc de lui-même. En se retranchant dans des termes comme "Faculté d'adaptation" ou "intelligence", il en oublie ses origines et tente de soumettre la nature à ses propres volontés. Ils construit ses propres systèmes de valeurs en s'isolant du monde et donc de lui-même.


Dans l'Univers, tout est lié. La matière est partout et il n'existe pas plus de vide entre un homme et un autre qu'à l'intérieur de notre propre corps. Nos sens nous aveuglent et nous refusons d'accepter ce contact continuel du Tout. Nous refusons d'accepter la théorie de la relativité, la loi de la gravité, l'illusion du temps, et donnons tout notre crédit à nos sens. Nous sommes prisonniers de nous même, incapable de nous projeter hors de nos convictions. Notre vérité est matière et le reste n'est qu'extrapolation.

Notre conscience nous donne accés à l'abstraction, au conceptuel. Ce n'est pas un hasard ! Si nous avons acquis cette faculté, il y a une raison. Malheureusement, nos peurs et nos doutes nous en font perdre le contrôle. Au lieu d'en profiter, nous nous retranchons dans ce monde matériel et n'acceptons pas l'énorme potentiel qui nous a été offert. Ce déséquilibre provoque des réactions absurdes, donne légitimité à des croyances basés sur des faits tronqués. Au lieu d'aider au développement de la vie, nous cherchons son sens dans des systèmes que nous ne maîtrisons pas. Nous étudions des modes de fonctionnement animales ou végétales pour nous en inspirer. Nous avons peur d'ouvrir nos coeurs à l'amour et au monde qui nous entoure. Nous faisons d'avantage confiance à d'autres espèces qu'à nous-même.

Pourtant, nous avons créé des systèmes de communication très efficace qui ne fonctionnent que d'homme à homme. Nous sommes liés les uns aux autres car nous sommes un. Notre unité est tellement évidente qu'elle nous effraie. Chacun voit en l'autre un ennemi et fait plus confiance à son animal de compagnie qu'à un inconnu. L'Humanité se veut évoluée mais n'assume pas sont libre-arbitre.

Il faut redéfinir nos valeurs et organiser notre évolution. Se retrancher derrière la fatalité, les biens matériels, la peur, les croyances, sont des leurres qui nous éloignent de la vérité. Nous n'avons pas à nous adapter au monde car nous en faisons parti. Nous y sommes forcément adapté. Notre conscience doit nous servir à faire les bons choix. Ceux qui nous permettent de vivre la paix et l'amour qui transpire partout dans l'Univers. Ce n'est pas à l'homme de définir la justice de tout.

Ce qui est juste c'est que nous avons le droit d'exister. Le bien et le mal sont des concepts qui nous dépassent totalement. Le postulat de départ c'est que nous sommes là et la seule chose que nous avons à faire c'est d'en chercher la raison. Nous pouvons donner de l'amour, travailler dans le sens de l'Univers. La conscience n'est pas synonyme de culpabilité. Notre espèce doit assumer sa fonction de porteur d'amour. C'est le message que révèle toute matière. L'homme doit apprendre à construire et son meilleur partenaire c'est lui-même.